200 millions d’euros pour les PME

Le gouvernement vient d’annoncer la création d’un nouveau fonds de soutien qui permettrait d’aider les PME de taille moyenne à reconstituer leurs fonds propres. Bonne nouvelle, car comme je m’évertue à le dire depuis des années, le problème de financement des entreprises ne vient pas uniquement des banques mais des entreprises ou plutôt du manque de fonds propres.

Petite démonstration très simple. Prenons le principe (tout théorique) qu’un banquier prête 1 euros si l’entrepreneur apporte 1 euros. Donc si les fonds propres sont égaux à 100 alors le banquier prêtera au maximum à 100. C’est pour cela que l’on dit que les banquiers ne prêtent qu’aux riches…

Deux observations, cependant sur cette annonce qui doit encore être précisée.

La première, c’est que la mise en oeuvre semble plutôt bien ficelé. En effet, ce serait le FSI (Fonds de Soutien à l’Industrie) géré par la Caisse des Dépôts qui en assurerait la gestion, gage de professionnalisme. Ensuite, l’innovation dans ce cadre là, serait que ce soit le médiateur du crédit qui identifiera les cibles intéressantes. Gage de réalisme économique…

La seconde porte sur les montants. Il semblerait que les fonds alloués seraient de 200 millions d’euros et que le ticket moyen de 10 millions d’euros par entreprise. Alors si je calcule bien ce fonds ne concernerait que 20 entreprises. Peu pour un fonds de soutien non ?

Ce qui serait par contre intelligent, c’est d’appliquer le principe de co-financement. A savoir que pour 10 millions recherchés, l’entreprise recevrait 2,5 millions par ce fonds, 2,5 millions par un fond privé et 5 millions de dettes bancaires. Il faudra certainement imaginé une répartition plus réaliste à savoir notamment une part moins importante des banquiers qui ont déjà des créances dans l’entreprise (3,5 – 3,5 – 3 par exemple)… Cela permettrait alors plus de 55 entreprises ce qui serait plus respectable…

Suite Lundi avec le discours du président.

Financement des entreprises

J’ai reçu un message d’un internaute, me remerciant pour mon blog, cela fait toujours plaisir mais également dénonçant l’impossibilité de financer son projet qui semblait tourner autour de la création d’une communauté et d’un produit sur un marché précis.

J’ai alors repensé à plusieurs projets qui m’ont été présenté et que j’ai malheureusement du refuser pour les investisseurs que je connais, car je sais évidemment qu’ils ne financeront pas… La question du financement en amorçage est un vrai problème. Qui peut dire qu’il est capable de financer de bonnes idées sans avoir un prototype et des clients ? Malheureusement, il semble qu’il y en ait relativement peu. Vous me direz, c’est plus sage non ? Certes. Mais ce sont souvent les mêmes investisseurs qui placent leur argent sur des produits qui leur vont miroiter la lune alors qu’ils ne connaissent pas mieux le produit.

Alors me direz vous, les entrepreneurs ne font ils pas aussi rêver que les placements financiers ? Certes, non à les en croire mais je crois que le problème se situe ailleurs et que cela doit être une chance plus qu’un élément de renoncement.

Vous avez un projet de création d’entreprise qui repose sur une idée qui nécessite une levée de fonds importante. Guy Kawasaki vous dirait, et c’est plein de bon sens, pourquoi demandez vous à quelqu’un qui ne vous connait pas de risquer ce que vous n’êtes pas prêt à risquer vous même ? Ok, nous n’avez sûrement pas cet argent mais demandez vous sérieusement si vous l’aviez si vous investireriez dans votre projet. Pas sûr, mais si tel est le cas, alors transformez cette contrainte en opportunité.

Comment ? En restant indépendant et finançant vous même votre projet par votre travail. Votre idée repose évidemment sur votre savoir faire, votre savoir ou celui de votre équipe. Alors monétisez les auprès de clients qui pourront ensuite devenir des clients pour votre produit. Investissement minimal pour indépendance maximale. C’est à ce prix que vous pourrez ensuite, revoir l’ensemble des gens qui vous ont dit non et leur faire comprendre qu’ils avaient tord. La vengeance est un plat qui se mange froid non ?

Vous allez me dire comment faire ? Prenons un exemple concret pour bien comprendre. Imaginez que vous souhaitiez créer une communauté (c’est à la mode) dans le domaine du financement d’entreprise (c’est aussi à la mode, enfin tout le temps à la mode malheureusement). Bon ok, vous devriez pas trop avoir de problèmes de financement car vous connaissez le secteur. Mais imaginons.

La première étape est d’abord de créer un blog d’informations. Deux avantages :

  1. Vous créez une communauté, le but que vous recherchez
  2. Vous enrichissez votre savoir et cultivez votre savoir faire

La deuxième étape est de créer un fil twitter afin d’attirer un maximum de gens sur votre blog.

La troisième étape est ensuite de monétiser votre blog par la publicité, la vente d’informations, les conseils online. Attention à bien veiller à rentabiliser au maximum afin de dégager la trésorerie pour financer votre projet.

Ensuite une fois que vous avez atteint votre montant à financer, vous pouvez passer à la phase 2 qui est la création de votre communauté et là vous n’aurez pas de mal à trouver des financeurs complémentaires. Ne dit on pas on ne prête qu’aux riches ?!?!

Faire revenir les PME vers la Bourse…

J’ai entendu ce matin sur BFM Radio que l’un des moyens de contourner la sécheresse ou la prudence des banquiers serait de renforcer les fonds propres par la bourse. Autant, je souscris à 100% à la première partie qui est de renforcer les fonds propres, autant j’éclate de rire en entendant le moyen : la bourse.

Le constat est juste. Les PME françaises ont besoin de renforcer leur fonds propres. C’est une exigeance des banques qui est plutôt fondée mais qui ne date pas de la crise. Certes, celle-ci à accélèrer un mouvement, mais déjà bien avant celle-ci, les banques ont mis en place timidement les nouvelles dispositions de Bâle 2 dont l’un des effets, est la nécessité de ré-équilibrer la structure financière des banques et des entreprises clientes.

Ce qui me fait éclater de rire, c’est le remède. Il est, comme souvent, pire que le mal. Comment voulez vous attirer les PME vers la bourse en voyant les pratiques plus que douteuses des opérateurs de marché ??? Une entreprise, à fortiori une PME, a besoin de temps, de stabilité tout ce que la bourse n’offre pas.

De plus, quand on voit comment les introductions en bourse des petites valeurs se sont passées avec des pratiques dignes des Madoffs et consorts, cela n’incite en aucun cas les PME à s’introduire en bourse.

Soyons sérieux, je ne conseillerai jamais à mes clients pour renforcer leur fonds propres en envisageant l’introduction en bourse et ceci pour 3 raisons :

  1. Stratégie des opérateurs de marché trop spéculative,
  2. Illiquidité sur ces marchés,
  3. Coûts trop importants

Pire de tout cela, un remède existe : les Business Angels. Il existe des milliards d’euros qui dorment sur l’assurance vie est qui est souvent investi par des opérateurs qui n’ont aucune expérience de l’entreprise. Ce sont maintenant aux entrepreneurs de se mobiliser pour s’entraider.

Cela commence à se faire, car j’entends çà et là des projets de banques d’entrepreneurs où des entrepreneurs se rassemblent pour se prêter entre eux, voir entrent au capital dans les entreprises des uns des autres.

Le début de la fin pour les banques, certes non, mais une réponse pas si inintéressante…

C’est quoi de vrais capitaux risqueurs

Tiens voilà une vidéo que devrait regarder des Business Angels et capitaux risqueurs francais. No comment

Les vidéos Vodpod ne sont plus disponibles.

more about « C’est quoi de vrais capitaux risqueurs« , posted with vodpod

Pourquoi Amazon a acheté Zappos.com pour plus de $800 millions ?

Je viens de lire un article très intéressant de Seth Godin sur son blog. Seth est comme Guy (Kawasaki) un auteur très iconoclaste comme je les aime et j’ai plaisir à lire ses posts même si parfois il est un peu trop prolifique et j’ai du mal à suivre.

Je me permets donc de plagier son dernier post concernant le rachat de Zappos.com par Amazon pour $800 millions. Cela doit faire rêver Stéphane Treppoz qui a crée le Zappos français (Sarenza).

Seth se pose la question, pourquoi une entreprise comme Amazon racheterait le numéro 1 américain de la vente de chaussures en ligne alors qu’il vend déjà des chaussures en ligne et qu’il possède aussi bien la technologie que la notoriété pour être un concurrent sérieux ?

Seth énumère les différentes raisons que Amazon pourrait mettre en avant :

  • une culture d’entreprise extraordinaire attirant des personnes extraordinaires (MC : mais Amazon n’a t’elle pas également ce genre de culture ?)
  • une entreprise qui donne accès à de nouveaux clients car Zappos a une relation étroite avec les clients (MC : aucun)
  • un business modèle remarquable (MC : je m’interroge est il plus innovant que celui d’Amazon ?)
  • une histoire extraordinaire
  • une position de leader sur le marché

Note : MC = Mon Commentaire.

Pour moi la raison principale pour qu’une multinationale rachète une start-up, c’est tout simplement pour gagner du temps. Non seulement, il rachète une clientèle mais aussi et surtout conserve le lien que l’entreprise a pu tisser avec ses clients.

Source : Blog de Seth Godin

MAJ : Voici la réponse de Stéphane Treppoz à mon post que je remercie pour ce petit mot.

Bonjour,
Ce rachat ne me fait pas « rêver » mais je trouve que c’est une sérieuse crédibilisation du modèle (pas évident au départ) de la vente de chaussures par Internet.

Voir que le leader incontesté du e-commerce amazon rachète le leader de la vente de chaussures (et surtout le champion de l’excellence de la relation client) Zappos ne fait que me renforcer dans la conviction qu’on ne peut que gagner sur la durée à bien traiter ses clients.

C’est ce qu’on essaie de faire à notre plus modeste échelle chez Sarenza !

Bien à vous,

Stéphane Treppoz

Petit commentaire : pour prolonger le débat, je suis d’accord avec lui sur le fait que cela valide le modèle auquel je ne croyais pas et que j’avoue pour mon cas personnel ne pas être fan quand je connais la difficulté que j’ai a trouver des chaussures qui m’aillent.

Petite précision tout de même. Il semblerait que l’essentiel de la transaction se fasse par échange de titres et les fondateurs ne toucheraient « que » 40 millions de dollars. A vérifier….

J’ai également écouter ce matin le patron Amazon.fr justifier cette opération, s’il est besoin de la justifiée. Il disait pour résumer que, bien sûr qu’Amazon a acheté une entreprise avec des clients mais plus que cela, ce qui les intéressaient au premier chef est la capacité d’innovation de Zappos dans la relation client.

Créer une entreprise avec moins de € 1 500

Vous connaissez Kevin Rose ? Non ? C’est le fondateur du site Digg. Qu’est ce que Digg ?

« Digg est un site Internet communautaire qui a pour but de faire voter les utilisateurs pour une page web intéressante et proposée par un utilisateur. Typique du phénomène « Web 2.0 », il combine social bookmarking, blog et syndication. Il dispose de plusieurs catégories, telles Politique, Divertissement, Vidéos et Technologie. »

Wikipédia.

Ce site est un des sites les plus populaires pour les geeks du Web 2.0 comme son fondateur Kevin Rose. Évangéliste de talent, une des légendes autour de lui est qu’il aurait fondé le site avec moins de $ 2 000.

Tout çà pour dire que l’on peut créer une entreprise avec peu d’argent, il suffit d’être ingénieux. D’autant qu’en France les mesures incitatives fleurissent. La dernière en date est très intéressante : le statut d’auto entrepreneur. En effet, on peut créer une activité pour tester une idée sans démissionner de son poste et sans créer une entreprise. C’est très utile car cela permet de pouvoir amorcer le business sans prendre trop de risques. Même les taxes sont proportionnelles à votre activité. Donc pas de CA pas de taxes, tout le contraire d’une entreprise. Pour plus d’infos, consulter le site crée à cet effet Auto Entrepreneur.

En période de crise, cette manière de commencer une aventure en y allant petit à petit est très en vogue. Peut être parce que beaucoup d’entrepreneurs ont du mal à trouver de l’argent. Cette stratégie a été popularisée par Seth Godin dans son The Bootstrapping’s Bible.

Chute de l’investissement des Business Angels aux USA

Chute vous avez dit chute. Oui, cela reste cependant qui reste plus qu’honorable si l’on compare aux chiffres en France. L’investissement des Business Angels (BA) aux Etats-Unis a chuté de 26% en 2008 pour atteindre $19,2 milliards selon l’étude annuelle du Center for Venture Research de l’université du New Hampshire.  Si l’on extrapolait ce chiffre à la France en le pondérant par le PIB, cela donnerait un potentiel d’investissement des BA en France d’environ $3 milliards soit € 2,3 milliards. Ca nous laisse rêveur…

Cette baisse n’est pas due à la baisse des tickets moyens d’investissement mais surtout à la baisse du nombre d’investissement en baisse de 24 %.

Selon l’étude, le nombre de BA reste constant autour de 260 500 et essentiellement orienté plutôt sur de l’amorçage avec 40 % de leur investissement. Les secteurs préférés des BA sont la santé (16 %), les logiciels (13 %), la distribution (12 %), la biotechnologie (11 %), l’industrie et l’énergie (8 %) et enfin les médias avec 7%.

L’étude nous apporte aussi un éclairage sur les sorties des BA. Les sorties réalisées par les BA se font essentiellement lors de rachats (70 %), à peine 4 % par des introductions en bourse et 26 % par la faillite…

Je vous avoue que cela fait presque 10 ans que l’étude du CVR de l’université du New Hampshire me laisse rêveur. Peu d’experts le disent mais l’une des bases de la prospérité américaine est les Business Angels. Pensez vous que Google, Apple, Microsoft, Southwest, et même le grand conglomérat General Electric serait les géants qu’ils sont sans l’intervention des Business Angels ? Assurément non. Les BA apportent aux jeunes entreprises les moyens d’assurer leur développement mais plus que çà un véritable conseil gratuit pour éviter les pièges. Imaginez vous que les BA payent pour pouvoir donner des conseils…

Sources :

Scandale du marché libre

Marre, j’en ai marre. J’ai pas l’habitude de dénoncer des pratiques qui pourtant me révolte, mais là s’en est trop. Je suis, en effet, exaspéré par ses marchands de rêve qui ont fait et qui feront encore miroiter aux entrepreneurs des montagnes d’argent simplement en s’introduisant en bourse.

Bravo pour le mirage. En effet, j’ai été confronté plusieurs fois à ses marchands de rêve qui ont convaincu certains de mes clients ou prospects d’introduire leur entreprise sur le marché libre. Résultat des courses : sur 2 expériences, une liquidation judiciaire et une entreprise au bord du dépôt de bilan. Pourquoi ? Tout simplement car leur promettant des milliers d’euros, ces introducteurs peu scrupulueux ont demandé des honoraires plus qu’exorbitant dont une partie souvent € 50 000 étaient des honoraires fixes. Dans les deux cas que j’ai en tête, les évaluations d’introduction étaient démentielles et bien sûr, les entreprises n’ont pas levé l’argent dont elles avaient besoin.

Pourquoi ces introductions sont souvent des arnaques ?

Mensonge n°1 : facilité de trouver de l’argent. C’est un mensonge car pour faire une introduction réussie, il faut que l’entreprise est une certaine maturité et que le dossier soit correctement construit. Or, certains introducteurs peut scrupuleux ne s’intéressent qu’au levier fiscal et en aucun cas au dossier en lui-même. J’ai tout de même vu des dossiers d’introduction réalisée grâce à des business plans jamais audités. Plus grave, les évaluations étaient basés sur ces business plans sans aucune vérification.

Mensonge n°2 : les investisseurs peuvent sortir facilement. Demandez aux nombres des investisseurs qui ont financé la pré introduction. On leur avait fait miroiter qu’ils étaient des privilégiés car ils souscrivaient à des conditions plus avantageuses que l’introduction en bourse. Attrappe gogo, car la plupart du temps, il est tout simplement impossible de sortir de ses entreprises car le marché libre est souvent très peu liquide et que les principaux opérateurs de marché ne se risquent pas sur ce marché pour deux raisons : entreprises trop jeunes et peu de flottants.

Attention donc quand on vous présente les choses en vous disant que c’est une superbe opportunité. Tout ce qui brille n’est pas de l’or.

Trouver de l’argent n’est pas un acte anodin, cela prend du temps et coûte un peu d’argent donc gaffe aux défenseurs du marché et des petits porteurs comme certains gourous veulent bien se présenter…

Capital risque existe t’il en France

Ce post m’est venu quand je discutais au téléphone avec un entrepreneur qui me disait qu’il cherchait des capitaux risqueurs et non des capitaux développeurs. En effet, il trouvait qu’en France, il n’y avait personne qui était capable de prendre le risque de financer des projets  sur une idée ou un concept non prouvé.

Je ne parlerai pas du projet, mais celui-ci à quand même fait l’objet d’une levée de fonds d’un demi-million d’euros pour financer sa R&D… Donc il y a des personnes qui sont capables de financer des idées.

Par contre, je suis tout de même d’accord avec lui car aujourd’hui si vous n’avez pas un concept qui a déjà été prouvé, c’est mission impossible de trouver du financement. C’est déjà dur pour les entreprises établies alors les startups. Ce que je déplore actuellement, c’est 2 choses :

  1. La position des investisseurs qui pour investir dans une entreprise demande des prévisions sur 5 ans et des Business Plans de 30 pages alors que l’on sait que 90% des informations ne se réaliseront pas…
  2. La position des entrepreneurs qui devant le tarissement des sources de financement, ne changent pas de modèle et préfèrent rendre responsables les investisseurs plutôt que d’aller à la chasse aux clients afin de financer leur innovation par la valorisation de leur savoir faire.

Je rêve aujourd’hui de trouver des Business Angels, qui investiraient non pas parce que cela defiscalisent leur ISF et leur IR mais parce qu’ils croient dans le projet et dans l’équipe qui le porte. En France, le financement des startups est devenu une affaire de dossiers, documents. Or quand on finance une startup rien n’est plus important que l’équipe.

Interview de Guy Kawasaki par Robert Scoble

Robert Scoble interview Guy Kawasaki notamment sur son nouveau bouquin. Interview très intéressante dont j’ai retenu deux choses. Première chose, ce n’est pas parce que vous offrez des boissons gratis et que vous donnez de la nourriture saine à vos employés comme Google que vous êtes Google. Deuxième point important, Guy insiste sur un point : prendre soin de ses clients est plus important que n’importe quoi. Il cite notamment que le succès de Microsoft s’est notamment construit sur le fait que Bill Gates c’est occupé de ce que voulait les clients à savoir : utilisation simplifiée de l’ordinateur et les clients ont adhéré.

Je suis tout à fait d’accord avec lui. Je rajouterai simplement que depuis que Microsoft ne fait plus aussi attention à ces clients il perd de son influence et de ses parts de marché.

Les vidéos Vodpod ne sont plus disponibles.