Apéros du Management chez SEW – Usocome

Je suis membre du bureau de l’association AMI qui gère les Apéros du Management. Comme régulièrement, j’ai participé aux derniers Apéros du Management. Pour ceux qui ne connaissent pas le concept, il s’agit de faire partager l’expérience d’un chef d’entreprise sur un sujet précis.

Vous allez me dire, encore un qui veut faire de la publicité pour son événement. Oui c’est en partie vrai mais pour une bonne raison. En effet, la qualité des intervenants d’Apéros en Apéros me surprant toujours. Outre le fait que je l’ai été une fois, c’est surtout la qualité du dernier intervenant qui m’a impressionné.

En effet, voici un homme qui est DG d’une belle fililale d’une PME allemande (CA monde : 1,8 milliard d’euros) et qui fait non seulement une présentation très brillante sur les indicateurs de performance de son entreprise avec de vrais chiffres. Au lieu de prendre un powerpoint revu à l’avance par le département communication (tiens à propos, je me demande s’il en a un), il ouvre tout simplement un excel avec un titre du style comité de direction ou quelques choses dans ce genre là et vous montre chiffres à l’appui l’évolution de ses indicateurs et comment il les a mis en place. Soit cet homme est un parfait manipulateur (et j’y crois pas) soit simplement quelqu’un qui n’a rien à cacher et c’est d’autant plus rare pour que ce soit mis en avant.

Vous allez me dire, encore un qui veut faire de la publicité pour son événement. Oui c’est en partie vrai mais pour une bonne raison. En effet, la qualité des intervenants d’Apéros en Apéros m’étonne toujours. Outre le fait que je l’ai été une fois, c’est surtout la qualité du dernier intervenant qui m’a impressionné. En effet, voici un homme qui est DG d’une belle fililale d’une PME allemande (CA monde : 1,7 milliard d’euros) et qui fait non seulement une présentation très brillante sur les indicateurs de performance de son entreprise avec de vrais chiffres. En effet, au lieu de prendre un powerpoint revu à l’avance par le département communication (tiens à propos, je me demande s’il en a un), il ouvre tout simplement un excel avec un titre du style comité de direction ou quelques choses dans ce genre là et vous montre chiffres à l’appui l’évolution de ses indicateurs et comment il les a mis en place. Soit cet homme est un parfait manipulateur (et j’y crois pas) soit simplement quelqu’un qui n’a rien à cacher et c’est d’autant plus rare pour que ce soit mis en avant.

Mettant occupé de l’accueil avec Vincent Froehlicher, et ce n’est pas de tout repos, je n’ai pu noter que la fin de son intervention, mais juste ce petit bout m’a impressionné sur la qualité du bonhomme. A propos, cet homme est Michel Munzenhuter, DG de SEW Usocome.

Ce qui est notable dans son intervention est le bon sens avec lequel, il a mis ces indicateurs d’activité et de performance. J’y reviendrais un peu plus bas pour faire la différence.

Cette mise en place a d’abord coïncidé avec la mise en place d’une nouvelle organisation propre à la filiale française et qui divise en fait les 2 usines de Haguenau et de Forbach en 50 mini usines correspondant aux 50 managers en place. Ces mini usines sont constituées de 35 à 70 personnes et ont leur propre compte de résultat. 50 PME en quelque sorte !!! L’idée est d’introduire plus de flexibilité dans l’entreprise et d’augmenter la productivité par l’implication des équipes. Mais cela ne s’est pas fait sans mal. Casser les échelons hiérarchiques a mis plus de 15 ans à être mise en place!!!

Après cette brève digression vers l’organisation, revenons à ce qui nous occupe : les indicateurs. Michel Munzenhuter en distingue de 2 sortes : les indicateurs d’activité qui mesurent l’activité au sein de l’entreprise (niveau de production par exemple) et les indicateurs de performance (niveau de rentabilité par exemple). L’un ne va pas sans l’autre. C’est comme si vous étiez uniquement intéressé par le CA (indicateur d’activité) et que vous négligez la rentibilité (indicateur de performance).

Autre point qui m’a beaucoup surpris a été sa réponse à une question posée par l’auditoire. Réponse provocatrice, je vous l’accorde mais là encore pleine de bon sens. A la question : comment mesurer vous le climat social ? La réponse a été claire et nette : au sourire sur les visages des salariés quand je viens leur dire bonjour dans l’entreprise. Autre petite boutade pleine de bon sens, « je m’inquiéterais du climat social quand plus aucun problème me sera remonté ».

Dernier point que j’ai retenu de l’intervention a été sa position sur la politique salariale. Depuis des dizaines d’années, SEW USOCOME a toujours réalisé une augmentation globale des salaires au delà de l’inflation (sauf en 2009). Puis elle distribue des primes, qui sont réparties par les managers. La direction générale alloue une enveloppe par équipe et ensuite, c’est aux managers de répartir cette enveloppe.

En conclusion, je dirais que cette entreprise, qui bien qu’elle soit une filiale d’un groupe allemand doit être considérée comme un exemple de la qualité du travail français car non seulement la filiale française performe par rapport à la maison mère mais en plus adopte des méthodes de management modernes aujourd’hui inapplicables en l’état dans la maison mère.

En tout cas merci à Michel Munzenhuter dont l’intervention a vraiment été très intéressante ainsi que le buffet servi à la fin. Je regrette juste de ne pas avoir été à l’heure pour la visite de l’usine faite par le DG lui même et de ne pas avoir pu suivre l’intégralité de son intervention. J’essaierai la prochaine fois de suivre la totalité de l’intervention et surtout de prendre des notes pour vous en faire un résumé plus exhaustif.

Les anges de Finaqui font des petits – SudOuest.fr

La société de capital-risque girondine Finaqui, créée en 2007 par une soixantaine de dirigeants d’entreprise actifs ou retraités, étend son action. Elle a suscité, pour ce faire, la création d’une association visant à élargir le nombre des « business angels » susceptibles de devenir investisseurs minoritaires dans de jeunes entreprises.

Finaqui a levé près de 1 million d’euros, chacun des membres en mettant 15 000 au pot. À ce jour, l’essentiel de cette cagnotte a été investi dans une dizaine de start-up. Finaqui est ainsi actionnaire de Guitars JC (Bordeaux), l’un des seuls fabricants français de guitares, ou de Conecteo (Martillac, en Gironde), spécialisée dans les logiciels de relation clients. L’une de ses autres participations s’est d’ores et déjà soldée par une plus-value : la société limougeaude Logidoc (gestion du courrier papier par Internet) a été vendue au français Tessi. Mais toutes les lignes du portefeuille de Finaqui n’offrent pas les mêmes perspectives de gains à court terme.

Mutualisation des risques

Malgré le caractère aléatoire de ce placement, certains actionnaires sont prêts à augmenter leur mise, tandis que d’autres dirigeants sont tentés par ce rôle d’ange des affaires qui offre à des start-up un financement doublé d’une sorte de tutorat. Dans ces conditions, plutôt que de créer une nouvelle société de capital-risque, dont le lancement prendrait du temps, les chevilles ouvrières de Finaqui ont favorisé la création d’une association ouverte à des actionnaires de la société et à des tiers. Ses membres pourront investir directement ou constituer des sociétés d’investissement de business angels (Siba) afin de mutualiser leurs risques. Pierre Nicot, ancien patron d’une société de restauration professionnelle, est le premier président de cette association.

 

 

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Chaîne de ibmskillstour – YouTube

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IBM lance le programme « Smarter Planet Comes to you ». Cette campagne, qui se déroule dans 12 pays et 24 universités à travers toute l’Europe, vise à faire connaître les projets d’IBM Smarter Planet auprès des étudiants et de leurs professeurs, et ainsi soutenir l’enseignement à l’université.

A chaque étape de la tournée IBM « Smarter Planet Comes to You », des débats seront organisés avec des groupes d’experts, ainsi que des conférences réunissant des professeurs, des experts d’IBM et des dirigeants d’entreprises locales sur les principaux thèmes du programme (« Villes intelligentes », « les compétences du 21e siècle » etc.).

Ainsi, nous serions heureux de vous inviter le vendredi 18 février prochain à l’Ecole de management de Strasbourg* pour assister aux débats et aux conférences du programme « Smarter Planet Comes to You ».
A cette occasion, vous pourrez aussi découvrir le bus IBM dédié aux « compétences », présent sur le campus de l’université. A l’intérieur de cet espace, les visiteurs trouveront des équipements multimédia ainsi que les dernières technologies et logiciels IBM. A découvrir parmi les innovations, les « serious game », des jeux de simulation développés par IBM tels que « CityOne » and « Innov8 ». Les participants pourront aussi essayer les outils d’IBM à destination des universités mais aussi des professionnels (Exemple : My developerWorks, un réseau de communauté à travers le monde permettant aux utilisateurs d’échanger avec des développeurs et des professionnels de l’IT).

Retrouvez les details du programme pour chaque date de la tournée IBM « Smarter Planet Comes to You » sur : http://www.facebook.com/ibmskillstour.
et sur YouTube: http://www.youtube.com/ibmskillstour

Assystem se renforce en Allemagne dans l’électronique embarquée – Usine Nouvelle

L’ingénieriste a annoncé le rachat à 100 % de Berner & Mattner, une PME d’outre-Rhin spécialisée dans les systèmes électroniques embarqués pour les transports.

Le groupe international d’ingénierie et de conseil en technologie Assystem a annoncé ce lundi son projet d’acquisition de l’entreprise allemande, située à Munich, Berner & Mattner, spécialisée dans le développement de systèmes d’électronique embarquée. Celle-ci réalise un chiffre d’affaires de 28 millions d’euros avec 286 personnes. Cette acquisition permettra au français de renforcer sa présence sur ce secteur et d’atteindre des ventes de 100 millions d’euros pour cette activité, soit un sixième de son chiffre d’affaires. Ce rachat lui permettra aussi de renforcer ses équipes en Allemagne, qui atteindront ainsi les  1 100 salariés.

Créé il y a trente ans, Berner & Mattner  est très présent dans le secteur de l’automobile et des transports. Son portefeuille de clients, BMW, Bombardier, Daimler et Siemens est complémentaire de celui d’Assystem, affirme ce dernier dans son communiqué. Le montant de la transaction, qui sera soumise à l’aval des autorités de la concurrence, n’a pas été divulgué.

Des produits locaux à domicile – Nice-Matin

Trente-cinq producteurs varois fournissent déjà Candice Bigel (à droite), comme François Rebuffel, éleveur de vaches laitières à Callian. Dylan Meiffret
Dans le Var, lepanierpaysan.com propose depuis peu la livraison de produits frais exclusivement issus de l’agriculture locale

Les kilomètres, Candice Bigel en a parcouru 10 000 en six mois… rien que dans le Var ! Son but ? Convaincre des producteurs locaux de s’engager avec lui dans une démarche de commerce équitable de proximité. La détermination de ce jeune entrepreneur a payé : ils sont déjà 35 à lui confier chaque semaine la distribution de fromages, légumes, fruits et autres viandes ou poissons 100 % varois, qui ne prennent pas l’avion avant d’atterrir dans votre assiette !

Commandes sur internet

A 35 ans, Candice Bigel,  amoureux de notre terroir, vient d’ouvrir une franchise lepanierpaysan.com aux Arcs. Le principe, qui a déjà fait ses preuves dans de nombreux autres départements, est simple : le consommateur effectue sa commande sur internet en début de semaine (avant le mercredi 13 heures). Candice sillonne les routes du Var à bord de son camion réfrigéré, le mercredi après-midi et le jeudi, pour récupérer les produits frais locaux. Puis livre les « paniers » à domicile, dans tout le département, le vendredi et le samedi.

Avec en prime des fiches recettes, qui permettent de donner des idées repas, (re) découvrir des recettes locales ou tout simplement savoir comment cuisiner le topinambour et le radis noir !

 

Weber Industries reprend Manuest/Vogica – Usine Nouvelle

Le tribunal de commerce d’Evry (Essonne) après un délibéré de huit jours, a retenu hier, 31 janvier, le dossier présenté par la société alsacienne Weber Industries de Manuest, filiale de production du groupe VGC (marque Vogica), à Chatenois dans les Vosges.

Spécialisé dans les cuisines en kit le repreneur emploie une cinquantaine de salariés en France et dispose de deux unités de production en Roumanie.
Son projet suppose le maintien de 135 salariés, sur le site actuel.

L’entreprise alsacienne se prévaut d’un accord de sous-traitance avec le groupe Kingfisher.

Le tribunal a suivi en cela l’avis favorable du comité d’entreprise, appuyé par le réquisitoire du procureur de la République.
Weber Industries était en concurrence avec le groupe Parisot-Windhurst qui, lui, prévoyait la reprise de 150 emplois qui seraient transférés sur son site de Mattaincourt (Vosges), distant d’une trentaine de kilomètres.

Mais sa proposition, selon les syndicats, était suspendue à la signature d’un contrat avec Kingfisher.

Manuest avait été placée en redressement judiciaire en décembre dernier, à la suite de la mise en liquidation du groupe VGC.
Spécialisée dans la production de cuisines en kit distribuées principalement dans les enseignes du groupe Kingfisher (Castorama, Brico Dépôt), l’entreprise vosgienne emploie encore 202 salariés.

Une nouvelle carte bancaire… sans compte en banque | Nice-Matin

 
Les cartes PCS permettent, comme les autres, d’effectuer des retraits à des distributeurs et des paiements dans le monde entier sur le réseau MasterCard International. (Photo M.Luccioni) M. Luccioni
Lancée avec succès en Corse fin 2010, la carte prépayée PCS MasterCard va débarquer dans le Var et les Alpes-Maritimes. Même les interdits bancaires peuvent l’acquérir

Se rendre chez un buraliste pour acheter une carte bancaire internationale, comme on demanderait un paquet de chewing-gums, c’est désormais possible. Depuis fin novembre en Corse, et bientôt dans toute la France.
Baptisée PCS (pour Prepaid Cash Services), cette carte équipée d’une puce ressemble à n’importe quelle autre : elle permet de retirer de l’argent dans un distributeur automatique de billets ou de régler des achats dans le monde entier, sur le réseau MasterCard International.

Aucun document nécessaire

Sa particularité ? Elle n’est reliée à aucun compte bancaire. N’importe qui peut donc se la procurer, sans engagement, sans justificatif de domicile ou d’identité. Mais attention : ce n’est pas une carte de crédit, on ne peut dépenser avec que ce que l’on a préalablement déposé.

« Cette carte a été très bien accueillie en Corse, où le démarrage a été très rapide », explique Joseph Quilici, l’un des deux dirigeants de la société porto-vecchiaise Impact Diffusion (avec Jean-Pascal Terrazzoni), chargée du développement technique, commercial et marketing par CreaCard.

 

La pénurie de composants, bête noire des sous-traitants – Usine Nouvelle

« Catastrophique », « chaotique », « ambigüe». Telle est la situation des transformateurs de composants, touchés par une crise sans précédent depuis plus de dix huit mois. En cause ? La pénurie de composants, conséquence de la crise économique. Une situation qui commence à impacter les constructeurs automobiles comme Volkswagen ou Chrysler.

Dans l’électronique, les fabricants de semi-conducteurs (Intel, Texas instruments, etc) ont baissé leur niveau de production, de peur d’une récession mondiale. Le tout sans anticiper la forte demande de composants en provenance des marchés chinois et indiens.  

« Ils ont préféré servir au mieux les plus gros clients basés dans ces pays au détriment de ceux jugés moins stratégiques en Europe », explique Richard Crétier, délégué général du syndicat national des entreprises de sous-traitance électronique (Snese).

 

 

Louis Dreyfus Armateurs. Huit navires commandés en Chine – Le Télégramme

Louis Dreyfus Armateurs renoue avec les investissements : le groupe a annoncé hier la commande de huit navires vraquiers en Chine, auprès du chantier Tianjin Xingang Shipbuilding, pour un montant de 330 millions de dollars. La commande porte sur quatre navires Capesize, de 292 m de long pour 180.000 tonnes de port en lourd et de quatre autres navires Handymax (180m et 40.000 TPL). L’armateur souligne que ces deux types de navires, livrables en 2013 et 2014, ont été optimisés afin de limiter au maximum les émissions de CO2 par rapport aux navires existants de tonnage équivalent. Ainsi, le nouveau Capesize permettra d’économiser environ 9.300 tonnes de CO2 par an et par navire. Le groupe souligne que «fidèle à sa stratégie contra-cyclique et après avoir vendu une partie importante de sa flotte de vraquiers au plus haut du marché en 2007-2008, Louis Dreyfus Armateurs a décidé de reconstituer le noyau dur de sa flotte dans un marché déprimé». LDA se dit confiant dans la reprise du marché à partir de 2013.

“Capital” : comment réussir en France ? dimanche 20 février sur M6 – Coulisses-TV

Dimanche 20 février à 20:40, Guy Lagache présentera sur M6 un nouveau numéro du magazine “Capital” qui aura pour thème “Comment réussir en France ?”.

Malgré le pessimisme ambiant, la réussite est encore possible dans notre pays ! Ainsi, la France reste le pays d’Europe qui attire le plus d’entreprises étrangères. Et bon nombre de Français refusent de se laisser aller à la déprime. Il y a ceux qui viennent de cités déshéritées et se lancent dans les affaires, ceux qui parient  leurs économies pour aider des boîtes qui se montent, ceux qui n’ont pas fait d’études universitaires mais  gagnent très bien leur vie en bleu de travail. Ensemble ils composent une autre image de la France, qui donne envie de bouger.

Tu seras plombier, mon fils.
Dans quel métier peut-on aujourd’hui se payerle luxe de choisir son lieu de travail, ses clients et même ses tarifs ? Plombier ! Dans un pays  qui compte 2,7 millions de chômeurs, cette corporation recrute en masse, dopée par les travaux imposés par les nouvelles normes environnementales. Souvent méprisée, cette profession manque aujourd’hui cruellement de main d’oeuvre. Faut-il désormais conseiller à ses enfants de devenir plombier ? Capital a mené l’enquête…

Monter sa boîte sans argent : la solution « business angels ».
Quand on veut monter sa boîte, difficiled’emprunter auprès des banques. Alors, de plus  en plus de jeunes créateurs d’entreprise vont chercher l’argent ailleurs, chez des particuliers prêts à parier gros. Ces investisseurs amateurs, on les appelle des « business angels ». Il y en a déjà 10 000 en France. Parmi eux, quelques  milliardaires français du net (comme les fondateurs de Free ou de Meetic),mais aussi des cadres supérieurs, des professions libérales ou d’anciens patrons qui veulent faire  fructifier leur épargne. Ces anges-là sont très intéressés : pour que leur investissement rapporte, ils ne sélectionnent qu’un projet parmi des centaines.  Sur quels critères un « business-angel » décide-t-il de plonger ? Combien sont-ils prêts à miser ? Et quelles sont leurs chances de faire fortune ?